Au tournant des XXe et XXIe siècles, précisément en l’an MM, à l’occasion de
l’exposition L’Écheveau du cas Roussel, au musée Nicéphore Niepce à
Châlons-sur-Saône, était publié un ouvrage où un mystère vieux de soixante-sept
ans devint soudain limpide : les dessins de Henri-Achille Zo ornant les Nouvelles Impressions d’Afrique de Raymond
Roussel, effet de miroir homophonique, lus, paire par paire, devenaient des mono-rébus. Pour ne donner qu’un
seul exemple : l’outre perforée d’un coup de poignard, est une «outre à jet» et le
dessin qui lui correspond, un homme tendant sa carte de visite pour un duel, est un «outragé», etc.,
etc., ... 29 paires se lisent ainsi.


